Peut-on apprendre à s’auto-guérir ?
Sans aucun doute et avec la plus grande des certitudes ,je répond OUI !
J’aide à stimuler l’auto-guérison des personnes qui viennent me voir, à l’aide de la kinésiologie. Pourtant je ne suis pas guérisseuse ! Je n’ai aucune prétention de guérir quoi que ce soit.
Ma vision des choses.
Il n’y a pas d’ordre de grandeur dans les symptômes, les maux, les maladies qui viennent nous chatouiller ! Ceci est déjà “une première couleuvre” à avaler pour certains. J’en conviens !
Alors je vais enfoncer le bouchon encore un peu plus loin.
Même pas peur du soulèvement de réactions de certains, “Peur de rien”, la nana!
Tout comme il est dit dans “Un cours en miracles” qu’il n’y a pas d’ordre de difficultés dans les miracles.
“Aucun n’est plus dur ni plus gros qu’un autre. Ils sont tous les mêmes. Toutes les expressions d’amour sont maximales”
La notion de grandeur dans les symptômes, les maux et les maladies
En fait, la notion de grandeur est une invention de notre mental pour mieux jouer le jeu de la dualité, le jeu de la séparation:
Voici quelques exemples très parlant de cette notion “d’ordre de grandeur”, de séparation que nous jouons avec les autres:
Depuis notre tendre enfance, avec le système de notation à l’école qui crée littéralement la division entre élèves:
Les bons, les moyens et les mauvais jusqu’au cancre!
Autant dire qu’il vaut mieux se retrouver du côté des bons que du côté des mauvais. Il existe un risque de développer déjà au plus jeune âge, quelques symptômes perturbateurs s’extériorisant au sein de la classe (agitation) ou en interne par quelques simples maux de ventre…. Mais ils peuvent aussi sommeiller pour se manifester plus tard, par exemple à 40 ans, sous forme d’une cancer de…, rongé par cette dévalorisation vécue depuis l’enfance !
Ceci-dit, le bon élève n’est pas sans risque de développer, lui aussi quelques symptômes…dus à la pression exercée par son entourage ou lui-même.
Un autre exemple très parlant est celui des couches sociales avec les riches, les classes moyennes et les pauvres.
Ce sont des instruments de notre société, créés par l’homme de toutes pièces, qui conduisent à vivre les thèmes de l’injustice, l’impuissance, la culpabilité, la peur de l’échec, la peur du manque…
C’est, la grande pièce de théâtre que nous avons choisie de vivre tous ensemble.
C’est donc bien par le fruit des capacités de notre mental que ces deux grands thèmes de la séparation ont été mis en place.
Il n’y a pas d’ordre de grandeur entre les hommes. Nous naissons avec des qualités différentes afin de nous compléter tous. C’est tout simple. Chacun naît avec un but que lui seul peut accomplir au cours de son incarnation.
Mais la plus grande division que nous vivons au quotidien, c’est avec nous-même que nous l’avons. Elle se manifeste par tous les symptômes physiques, issus des désordres psycho-émotionnels et pouvant aller jusqu’à la maladie déclarée.
C’est le résultat de notre pouvoir créateur immense, infini auquel nous ne croyons pas car nous ne croyons pas en nous, en nos capacités. Tout cela parce que nous ignorons notre véritable origine.
Nous sommes tous des êtres divins
Alors là, cette couleuvre est encore plus grosse?
Non, car Il n’y a pas d’ordre de grandeur. (hi,hi,hi)
Nous sommes des êtres divins qui avons un pouvoir d’auto-guérison à développer. Chacun étant unique, il n’y a pas une recette à appliquer pour tous.
Ou plutôt si! Il y a une recette dite “miracle”. Oui car je vous invite vraiment à croire aux miracles, à invoquer les miracles à votre tour: pour tous ceux qui vous entourent et à commencer par vous-même!
Développons notre pouvoir de l’intention !
Si la foi peut déplacer des montagnes, elle peut bien créer quelques guérisons, non? N’est-ce pas déplacer une montagne lorsqu’une femme est capable de soulever une voiture pour dégager son enfant? N’est-ce pas un miracle lorsqu’une personne condamnée par la médecine, diagnostiquée cancéreuse, se retrouve “guérie” après avoir plongé dans la méditation, la visualisation ou toute autre technique?
Aujourd’hui, la diversité des techniques est immense, justement afin de répondre à l’unicité de chacun. Et nous n’en sommes qu’au début. Car si nous sommes 7 milliards d’individus, il y a donc 7 milliards de techniques à trouver. Mais c’est à chacun de trouver la sienne.
Alors à quoi bon faire de la pub en prêchant les mérites de ma technique si c’est pour en venir à la conclusion que bientôt, toutes auront disparu lorsque chacun aura développé son potentiel, son pouvoir d’auto-guérison?
En attendant, ce jour glorieux, je peux accompagner les personnes qui viennent me voir pour les aider à stimuler leur pouvoir d’auto guérison.
Toutefois, je dois commencer par moi.
Mes symptômes me semblent parfois des montagnes infranchissables. Avant je m’en remettais à l’extérieur aux médicaments, aux médecins.
Si je crois autant à l’auto guérison, je dois le prouver d’abord à moi-même!
Je dois affronter mes peurs (toujours issues du mental) de ne pas y arriver.
“JE CROIS EN MOI”
Cette simple phrase fait référence au domaine de la certitude intérieure et donc à la spiritualité. C’est avoir la foi, non pas en un Dieu extérieur mais en un Dieu qui se trouve à l’intérieur de nous. Nous sommes capables de tous les pouvoirs. Il suffit d’y croire pour soulever une montagne, la plus grosse étant notre forteresse que nous nous sommes construites.
La lecture d’un article sur internet m’a rappelée cette légende:
“Une vieille légende hindoue raconte que tous les hommes étaient des dieux qui un jour abusèrent de leur pouvoir divin. Brahma qui était le maître des dieux décida de cacher aux humains leur divinité dans un endroit où il leur serait impossible de la trouver. Ce seul endroit où ils ne penseraient pas la chercher, est au plus profond d’eux-mêmes.”
Vous me direz que c’est une légende. Et si cette légende avait un fond de vérité pour ne pas dire que c’était une vérité toute entière?
“JE CROIS EN MOI”
Comment aidez les autres à croire en eux si je ne crois pas en moi ? Vantardise !
Il me faut remettre en question toutes les croyances auxquelles j’ai adhèrées pour ne pas croire en moi.
Par exemple, ce n’est pas faire preuve de vantardise que d’affirmer de tels propos. J’en suis capable. Ce n’est pas mal que de se glorifier:
“gloire à toi, Odile, particule divine, qui est aussi capable de soulever ta propre montagne que cette femme qui a été capable de soulever une voiture pour sauver son enfant »
Sauver son prochain, soit ! Mais commençons par nous sauver nous-même !!!
Une seule chose est à faire: développer, amplifier ma foi en moi. Étendre ma foi jusque dans mes cellules qui régissent toute mon organisation interne.
De la même manière que l’on peut admirer l’horlogerie lorsque l’on ouvre une montre mécanique, on peut admirer toute l’organisation interne de notre corps. Merci à la création pour ce chef d’œuvre de réalisation!
“Mes cellules, mes organes, mon squelette, mes liquides, ma peau, mes cheveux, je vous aime”
J’en pleure à chaudes larmes que d’écrire cette phrase.
Mais je sais que c'est la voie vers une unification plus grande avec moi-même. C’est encore une fois, mais sous un autre éclairage, me dire:
“JE M’AIME”
C’est la guérison qui opère. C’est l’amour qui coule en nous lorsque nous décidons de quitter la grande scène de la séparation, acte ???, scène??? Il y en a tellement. Je ne sais plus où j’en suis.
Je décide que c’est, maintenant, ici, la scène finale, scène héroïque, où je joue le rôle principal évidemment.
Je m’aime
Je vous aime
Je nous aime
Namasté
(Texte écrit en 2012)
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